J'ai adoré l'auberge espagnole. Ce rappel de ce que l'on peut vivre quand on a 20 ans. Age béni, sans insouciance. "Les poupées russes" a perdu cette magie. Dommage. Mais c'est dur de faire une bonne suite. La photo que tu as choisie m'inquiète. Le photographe s'en est il sorti apres un regard aussi meurtrier :)
Pareil ! L'insouciance peut faire place à une prise de conscience, mêlée de malaise qui donne envie de vite replonger dans l'état précédent... Pourtant elle n'a pas les yeux revol-verts ! et tu es revenu de Budapest, d'ailleurs :)
J'ai adoré l'auberge espagnole. Ce rappel de ce que l'on peut vivre quand on a 20 ans. Age béni, sans insouciance.
RépondreSupprimer"Les poupées russes" a perdu cette magie. Dommage. Mais c'est dur de faire une bonne suite.
La photo que tu as choisie m'inquiète. Le photographe s'en est il sorti apres un regard aussi meurtrier :)
Pareil ! L'insouciance peut faire place à une prise de conscience, mêlée de malaise qui donne envie de vite replonger dans l'état précédent...
RépondreSupprimerPourtant elle n'a pas les yeux revol-verts ! et tu es revenu de Budapest, d'ailleurs :)
J'ai beaucoup les films de Klapisch,
RépondreSupprimerBien que léger, celui-ci m'a beaucoup touché...
Bonne journée Ambre !
Pierre
http://pierre-boyer.blogspot.com/
Bonjour Pierre, très matinal comme moi !
RépondreSupprimerMoi aussi j'apprécie l'univers de Klapisch.
A bientôt.