Provoquer des prises de bec, voler dans les plumes par plaisir, au point de briser des ailes, certains poussent, hein... Mais sur nos cintres trainera toujours un manteau jaune.
Coucou Ambre Le petit poussin a grandi,je le regrette aussi mais il reste dans notre coeur. Sache, qu'il nous a apporter,beaucoup de bonheur Ambre vient,avec d'autre choses plus personnel. Il restera toujours une grande place,a POUSSINAUTE Je t'embrasse
Merci, Elisabeth, je sais que tu ne risques pas de l'oublier, puisque c'est Poussinaute qui est à l'origine de notre Amitié ! Le poussin s'est effectivement transformé, son histoire reste la mienne, j'l'aimais bien avec son air ébouriffé, et de toute façon, c'est un "bout de moi" que j'ai laissé dans mon rétroviseur (JJG) mais qui fait partie de la route qui défile et sur laquelle je découvre d'autres horizons.
Merci encore d'avoir été la première à t'inscrire sur mon blog, attendant de voir en quoi un poussin sans ailes pouvait se transformer. Tu es incrustée à jamais dans mon AMBre, merci de ta présence régulière.
Ah ! Vivre loin de cette basse-cour fait partie des rêves que l'on câline assez...
RépondreSupprimerProvoquer des prises de bec, voler dans les plumes par plaisir, au point de briser des ailes, certains poussent, hein...
RépondreSupprimerMais sur nos cintres trainera toujours un manteau jaune.
Christophe : c'est ce que je fais depuis un mois, maintenant, très joli jeu de mots final !
RépondreSupprimerDenis : c'est TRES gentil, je retrouve bien là ta gentillesse duveteuse dans laquelle j'ai pu me réfugier.
Coucou Ambre
RépondreSupprimerLe petit poussin a grandi,je le regrette aussi
mais il reste dans notre coeur.
Sache, qu'il nous a apporter,beaucoup de bonheur
Ambre vient,avec d'autre choses plus personnel.
Il restera toujours une grande place,a POUSSINAUTE
Je t'embrasse
Merci, Elisabeth, je sais que tu ne risques pas de l'oublier, puisque c'est Poussinaute qui est à l'origine de notre Amitié !
RépondreSupprimerLe poussin s'est effectivement transformé, son histoire reste la mienne, j'l'aimais bien avec son air ébouriffé, et de toute façon, c'est un "bout de moi" que j'ai laissé dans mon rétroviseur (JJG) mais qui fait partie de la route qui défile et sur laquelle je découvre d'autres horizons.
joli clin d'oeil :)
RépondreSupprimerMerci encore d'avoir été la première à t'inscrire sur mon blog, attendant de voir en quoi un poussin sans ailes pouvait se transformer. Tu es incrustée à jamais dans mon AMBre, merci de ta présence régulière.
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