"La musique donne une âme à nos coeurs et des ailes à la pensée" Platon



9 avr. 2013

192ème ANNIVERSAIRE DE BAUDELAIRE

Charles Baudelaire par Thierry Coquelet (Les Utopies parallèles)


8 commentaires:

  1. bonjour Ambre, bon arriver a une tel maitrise du dessin, ça donne envie d'aller au 5eme sous sol....dans la pièce du fond , tu sais la ou il n'y a plus de lumière!!...je te remercie de m'infliger ca des le matin, je te remercie bien....bisous quand même!

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    1. Héhé, mon cher Misterponce, que nenni, il faut toujours se remplir des autres, de leur talent, de la Beauté du trait... en prendre plein la figure certes mais surtout ne pas se décourager ! Sinon, je n'aurais jamais osé montrer mes portraits sur le net.
      En ce qui concerne Thierry, j'ai eu la grande chance de voir ses dessins "pour de vrai", il sait que j'ai une très grande admiration pour l'artiste qu'il est mais aussi pour l'homme qu'il est aussi. Il a été un des premiers à m'encourager à poursuivre, avec des mots délicats dont il a le secret.
      J'ai déjà publié Baudelaire par Jeff Stahl et Bodard, j'avais celui de Coquelet imprimé dans ma mémoire, je n'allais surtout pas manquer cette belle occasion de post ce matin.
      Bises, j'ai bien compris que tu plaisantais, et je suis la première à m'exclamer Aïe, Aïe ! quand je vois une oeuvre qui s'impose d'elle-même.

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  2. Bonjour chère Ambre!
    Merci pour ce beau partage!
    Bonne journée!
    Bisou

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    1. Je te réponds ce soir, j'espère que ta journée a été bonne, malgré ce printemps qui tarde tant et les centaines de vaches qui nous arrosent allègrement :)
      Bisous

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  3. Pas le genre de truc qu'on verra à la téloche : je viens d'aller vérifier sur le prog'.
    Merci pour ce très grand poète !

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  4. Quelle claque !
    Cette caricature est juste ... à tomber.
    Grandiose, sublime, époustouflante.
    Lui avec comme parti pris caricatural l’exagération de son Spleen.
    Dans le choix du noir et blanc, dans la façon dont les ombres sont savamment distillées, dans sa moue, dans son regard noir et sombre, ourlé, usé, fatigué. Pointe aussi son talent immense, sa sensibilité à Fleurs du Mal, à fleurs de peau, son imaginaire sous absinthe ou pas.

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