Un trés beau post, dynamique et simple comme j'aime. La caricature de Jean-Michel est elle aussi dynamique et simple, efficace : quelle légèreté dans le pinceau. Merci à vous deux... et à Charlie pour son talent !
Caricature aussi des westerns... Il y a encore tant de coins ainsi que l'on retrouve dans des "Bagdad Café" ou des "Gilbert Grape", assez désolants et poignants où l'arrivée d'une personne extérieure dynamise et redonne de l'espoir...
Christophe : cette chanson est une réussite et elle me met en forme pour affronter le froid et la glace dehors !
Marguerite : ce que tu dis est exact, merci de ta visite. Dis-moi, j'ai l'impression que tu as "loupé" mon post : The ROSE ??? J'espère que cela te fera plaisir !
Guillaume : mon post d'aujourd'hui te plaît doublement ! C'est vrai qu'on se gèle en ce moment... n'empêche, t'as vu, on a trouvé le moyen de faire parler d'Orléans sur les chaînes nationales !!!
j'adore cette chanson .Le personnage, la rythmique qui met la patate. Et enfin le thème du homeless bohemian qui m'évoque le poeme de rimbaud . La boheme
Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot aussi devenait idéal ; J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ; Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. — Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. — Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers blessés, un pied près de mon cœur !
Un trés beau post, dynamique et simple comme j'aime. La caricature de Jean-Michel est elle aussi dynamique et simple, efficace : quelle légèreté dans le pinceau. Merci à vous deux... et à Charlie pour son talent !
RépondreSupprimerCaricature aussi des westerns... Il y a encore tant de coins ainsi que l'on retrouve dans des "Bagdad Café" ou des "Gilbert Grape", assez désolants et poignants où l'arrivée d'une personne extérieure dynamise et redonne de l'espoir...
RépondreSupprimerEfficace et Classe.
RépondreSupprimerÇa réchauffe avec les températures que vous avez ;)
RépondreSupprimerChristophe : cette chanson est une réussite et elle me met en forme pour affronter le froid et la glace dehors !
RépondreSupprimerMarguerite : ce que tu dis est exact, merci de ta visite. Dis-moi, j'ai l'impression que tu as "loupé" mon post : The ROSE ??? J'espère que cela te fera plaisir !
Guillaume : mon post d'aujourd'hui te plaît doublement ! C'est vrai qu'on se gèle en ce moment... n'empêche, t'as vu, on a trouvé le moyen de faire parler d'Orléans sur les chaînes nationales !!!
I'm with Bodard, nice!!
RépondreSupprimerThanks, Rodney.
RépondreSupprimerj'adore cette chanson .Le personnage, la rythmique qui met la patate. Et enfin le thème du homeless bohemian qui m'évoque le poeme de rimbaud . La boheme
RépondreSupprimerJe m’en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait idéal ;
J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ;
Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées !
Mon unique culotte avait un large trou.
— Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
— Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou
Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;
Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon cœur !
Idem, je l'adore et elle me fait avancer sur mon petit chemin. Ton association avec Rimbaud est très bonne, merci.
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