"La musique donne une âme à nos coeurs et des ailes à la pensée" Platon



1 déc. 2010

CHARLIE WINSTON

Charlie Winston par J-M Gruet

9 commentaires:

  1. Un trés beau post, dynamique et simple comme j'aime. La caricature de Jean-Michel est elle aussi dynamique et simple, efficace : quelle légèreté dans le pinceau. Merci à vous deux... et à Charlie pour son talent !

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  2. Caricature aussi des westerns... Il y a encore tant de coins ainsi que l'on retrouve dans des "Bagdad Café" ou des "Gilbert Grape", assez désolants et poignants où l'arrivée d'une personne extérieure dynamise et redonne de l'espoir...

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  3. Ça réchauffe avec les températures que vous avez ;)

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  4. Christophe : cette chanson est une réussite et elle me met en forme pour affronter le froid et la glace dehors !

    Marguerite : ce que tu dis est exact, merci de ta visite. Dis-moi, j'ai l'impression que tu as "loupé" mon post : The ROSE ??? J'espère que cela te fera plaisir !

    Guillaume : mon post d'aujourd'hui te plaît doublement ! C'est vrai qu'on se gèle en ce moment... n'empêche, t'as vu, on a trouvé le moyen de faire parler d'Orléans sur les chaînes nationales !!!

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  5. I'm with Bodard, nice!!

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  6. j'adore cette chanson .Le personnage, la rythmique qui met la patate. Et enfin le thème du homeless bohemian qui m'évoque le poeme de rimbaud . La boheme

    Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ;
    Mon paletot aussi devenait idéal ;
    J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ;
    Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées !
    Mon unique culotte avait un large trou.
    — Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course
    Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
    — Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou
    Et je les écoutais, assis au bord des routes,
    Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
    De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;
    Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
    Comme des lyres, je tirais les élastiques
    De mes souliers blessés, un pied près de mon cœur !

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  7. Idem, je l'adore et elle me fait avancer sur mon petit chemin. Ton association avec Rimbaud est très bonne, merci.

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