Olonne-sur-Mer, octobre 2013, CHAM |
Claudie Gallay, Les Déferlantes, 2008.
Résumé :
La Hague... Ici on dit que le vent est parfois tellement fort qu'il
arrache les ailes des papillons. Sur ce bout du monde en pointe du
Cotentin vit une poignée d'hommes. C'est sur cette terre âpre que la
narratrice est venue se réfugier depuis l'automne. Employée par le
Centre ornithologique, elle arpente les landes, observe les falaises et
leurs oiseaux migrateurs. La première fois qu'elle voit Lambert, c'est
un jour de grande tempête. Sur la plage dévastée, la vieille Nan, que
tout le monde craint et dit à moitié folle, croit reconnaître en lui le
visage d'un certain Michel. D'autres, au village, ont pour lui des
regards étranges. Comme Lili, au comptoir de son bar, ou son père,
l'ancien gardien de phare. Une photo disparaît, de vieux jouets
réapparaissent. L'histoire de Lambert intrigue la narratrice et l'homme
l'attire. En veut-il à la mer ou bien aux hommes ? Dans les lamentations
obsédantes du vent, chacun semble avoir quelque chose à taire.
Rendez-vous le vendredi 22 novembre 2013 à 20h 50 sur ARTE
Moi aussi parfois, j'aime a voir la tempete et les "hauts de Hurlevent"!!
RépondreSupprimerBonsoir AMBre!
RépondreSupprimerLa mer a une puissance terrible! Une tempete est quelque chose qui fait peur! Belles images.
Bises.
M. Emília
Bonjour chère Ambre!
RépondreSupprimerJe n'aime pas les tempêtes!
Mais le film est sûrement très intéressant!
Merci et bonne journée pour toi Ambre!
Je t'embrasse!
Il y a toujours qq chose à faire, face à la mer. Même si ce n'est rien. Prendre du temps pour soi, ça fait aussi du bien.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ta plage et la citation qui l'accompagne, elle résume bien nos vies.
RépondreSupprimerBonne semaine AMBre :)
Coucou Ambre.
RépondreSupprimerMerci de tes gentilles visites.
Pas encore de grosse tempête cette année (mieux vaut pas), en 99 nous perdîmes des tuiles et l’antenne télé...
Très bonne journée A + :))
des paysages dépaysants… de la vendée à la pointe de la hagues elles déferlent… je connais bien les 2…
RépondreSupprimer… les grandes étendues de sable vendéens aux airs irlandais des landes de la hague…
Bonjour Ambre,
RépondreSupprimerC'est joliment dit l'extrait du livre, merci c'est magnifique
Bisou et bonne semaine
Manon
J'aime le titre et la photo.
RépondreSupprimerEn s'imprégnant de l'un tout en contemplant l'autre, la mer s'anime en nous, nous submerge tout à fait.
Très beau et très intéressant. Bonne nuit Ambre.
RépondreSupprimerErika
j'ai suivi la côte de Granville à la Hague et mes yeux n'étaient pas assez grands tellement c'est beau !
RépondreSupprimerje note pour suivre le reportage !
Bonjour mes Amis
RépondreSupprimerCe titre correspond bien à la mer actuellement, le vent souffle fort et les vagues sont projetées contre toute résistance.
J'ai beaucoup aimé ce livre, son ambiance lourde et étrange, cette ornithologue solitaire qui m'a fait penser à mes collègues passionnés, et la mer toujours la mer belle en toutes circonstances...
J'ai hâte de voir ce téléfilm, j'espère qu'il sera fidèle à ce que j'ai ressenti en parcourant le roman, et j'aime Sylvie Testud en tant qu'actrice, elle m'avait bluffée en Françoise Sagan, entre autres.
Je vous embrasse
Bonjour AMBre! Votre océan magnifique! Au temps calme et à la tempête, quand les arbres roulent sur sur le bord. J'extermine il faut faire du bruit aussi produire l'énergie que demain regarderait le soleil et rencontrer par la surface unie d'eau. Merci à vous. Une bonne semaine.
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